Quelle déception !
Une jeune femme arrive en pleurs chez sa mère.
- Qu'est-ce qui t'arrive, ma chérie ?
- Oh maman, quelle déception... Richard m'a battue !
- Ton mari ? Mais je le croyais en voyage d'affaires ?
- Moi aussi !
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Une jeune femme arrive en pleurs chez sa mère.
- Qu'est-ce qui t'arrive, ma chérie ?
- Oh maman, quelle déception... Richard m'a battue !
- Ton mari ? Mais je le croyais en voyage d'affaires ?
- Moi aussi !
Un jeune enseignant se confie à un collègue :
- Je commence à douter de la fidélité de ma femme.
- Ah bon ? Pourquoi ?
- J'ai commencé ma carrière à Paris. L'année suivante, j'ai été muté à Strasbourg. Deux ans plus tard ici, à Bordeaux...
- Et alors ?
- Et alors on a toujours le même facteur.
A la cantine de l'usine, un ouvrier commence à agacer sérieusement ses collègues :
- Hé, les gars. Planck, vous savez qui c'est ?
- Non, font les autres.
- C'est un physicien qui a trouvé une constante pour décrire la taille des quanta. Je l'ai appris aux cours du soir.
- On en a rien à foutre.
- Et Ingres ? Vous savez qui sait ?
- Lâche-nous la grappe, tu veux ?
- C'est un peintre néo-classique du XIXème siècle. Je l'ai appris aux cours du soir.
- Mais bons sang, fous-nous la paix !
A ce moment-là, un ouvrier demande au bavard :
- Et toi qui es si malin, tu sais qui c'est, Sineau ?
- Euh... non.
- C'est le mec qui saute ta femme pendant que t'es aux cours du soir.
Deux types discutent :
- Dis-moi, si je couchais avec ta femme, on serait toujours amis ?
- Non.
- On serait copains ?
- Non.
- On ne serait quand même pas ennemis ?
- Non.
- On serait quoi alors ?
- On serait quittes.
Profitant de l'absence de son mari en voyage d'affaires, une femme a fait venir son amant chez elle. Et voilà que vers minuit, une clé tourne dans la serrure.
- Ciel, mon mari ! s'écrie-t-elle. Il ne devait rentrer que demain soir...
- Où est la porte de service ? demande l'amant en se rhabillant précipitamment.
-Il n'y en a pas, répond la femme, affolée. Viens vite dans la chambre du gosse, je vais te cacher dans le placard à jouets...
Sitôt dit, sitôt fait. Il était temps, car quelques secondes plus tard, le mari rejoint son épouse, qui lui dit combien elle est heureuse qu'il ait pu rentrer plus tôt que prévu.
Les lumières s'éteignent, la maison retombe dans le silence. C'est alors que le petit garçon se lève, va vers son placard à jouets, et frappe à la porte en disant :
- Je voudrais mon nounours.
Pas de réponse.
- Je sais qu'il y a quelqu'un. Donne-moi mon nounours.
- Je ne peux pas ouvrir de l'intérieur, murmure une voix étouffée.
- Moi, je ne peux pas dormir sans mon nounours ! Alors donne-moi dix euros.
- Ça va pas ? Petit salaud !
- Bon, je vais chercher papa. Il ouvrira le placard et il me donnera mon nounours...
- Ne fais pas ça, petit salaud ! Attends...
Et un billet de dix euros glisse sous la porte.
Une demi-heure plus tard, le gosse se relève.
- Je ne dors toujours pas...
- Je m'en fous.
- Très bien. Je vais chercher papa, et il va me donner mon nounours.
- Fais pas ça, petit salaud !
- Alors, je veux vingt euros.
- Tiens, les voilà ! grommelle l'autre en glissant le billet sous la porte, mais c'est fini, je n'ai plus rien sur moi.
Le gamin se recouche et s'endort.
Le lendemain il part à l'école, le mari au bureau, et la femme libère l'amant. Mais voilà qu'en classe, l'après-midi, le petit garçon a un cours de morale. Sujet : le chantage. Il en sort livide, en se disant qu'il a fait quelque chose d'épouvantable, et va droit à l'église pour se confesser. Agenouillé dans le confessionnal, il commence ainsi :
- Figurez-vous, mon père, que je ne peux pas dormir sans mon nounours...
Le curé l'interrompt :
- Encore toi, petit salaud !
Une femme est au lit avec son amant quand soudain le téléphone sonne. Elle décroche et dit :
- Allô ? Oui, ça va. Non, je ne m'ennuie pas trop, je bricole... Bon, eh bien ne rentre pas trop tard.
- Qui c'était ?
- Mon mari. Il est en train de prendre un verre avec toi.
Le propriétaire d'une écurie de courses rentre chez lui à l'improviste et trouve sa femme au lit avec Paul, son meilleur jockey.
- Paul, dit-il avec calme et dignité, c'est la dernière fois que vous montez pour moi.
Une femme entre dans une pharmacie et demande de l'arsenic.
- Qu'est-ce que vous comptez en faire ? lui demande le pharmacien, soupçonneux.
- C'est pour tuer mon mari.
- Comment ? Vous plaisantez ! Je ne peux pas vous vendre de quoi commettre un meurtre !
La femme ouvre alors son sac à main et en sort une photo montrant son mari couché avec la femme du pharmacien.
- Ah, évidement, si vous avez une ordonnance...
Une femme au foyer est en train de faire le ménage, quand soudain on sonne à la porte. Elle va ouvrir, et là un homme lui demande de but en blanc :
- Vous avez un vagin ?
La femme, surprise et incrédule, claque la porte au nez du type. Elle croit s'en être débarrassée, mais la scène se reproduit les trois jours suivants.
La femme décide d'en parler à son mari.
- Demain, dit-il, je ne vais pas travailler. Quand ce type viendra, tu répondras oui à sa question. Moi, je serai caché derrière la porte et nous saurons où il veut en venir.
Le lendemain, le même homme revient et sonne à la porte.
La femme ouvre et le type lui demande :
- Vous avez un vagin ?
- Oui, répond-elle sans hésiter.
- Dans ce cas, vous pouvez demander à votre mari qu'il arrête de baiser ma femme ?
C'est le curé qui confesse son sacristain :
- Dis-moi, qui vole mes tomates dans mon jardin ?
- Comment, mon père ? Je ne vous entend pas bien de ce côté.
Le curé répète plus fort :
- Qui vole mes tomates dans mon jardin ?
- Je vous assure, on n'entend pas bien de ce côté-ci !
- Alors change de place avec moi.
Ils échangent leurs places et le sacristain demande au curé :
- Dites-moi, mon père, qui saute ma femme quand je ne suis pas là ?
- Ah oui, c'est vrai qu'on n'entend pas bien de ce côté.