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Juifs - Page 2

  • Business is business

    Abraham a accroché devant son magasin une grande pancarte :

    ICI 20 % DE REMISE !

     
    Alors Jacob, qui tient un magasin presque à côté, accroche une pancarte un peu plus grande :

    ICI 30 % DE REMISE !!!


    Et puis arrive Samuel, qui est propriétaire du magasin situé entre les deux autres. Il voit les deux pancartes et se dit : "Impossible de descendre plus bas". Il réfléchit un peu, puis installe au-dessus de sa porte une grande banderole :

    ENTRÉE PRINCIPALE
  • Trois mères juives

    Trois mères juives parlent de leurs fils :
    - Mon fils, il est tellement riche qu'il pourrait acheter tout Paris s'il voulait.
    La deuxième soupire :
    - Bah bah bah... Moi, mon fils, il est tellement riche qu'il pourrait acheter tout Paris et tout New York s'il voulait.
    Alors la troisième s'écrie :
    - Et qui vous dit que mon fils veut vendre ?

  • A la bonne heure

    Le jeune Samuel monte dans un train et s'installe dans un compartiment face à un monsieur qui lit la Torah. Au bout d'un certain temps, Samuel demande :
    - Vous auriez l'heure, s'il vous plaît ?
    L'autre, imperturbable, continue de lire la Torah. Un long moment passe.
    Le jeune homme demande à nouveau :
    - Excusez-moi, monsieur, vous auriez l'heure, s'il vous plaît ?
    L'homme ne bouge pas, ne répond rien. Le temps passe, et enfin le train arrive à son terminus.
    - Il est 17h30, dit l'homme.
    Samuel le regarde, perplexe.
    - Mais pourquoi vous me le dites maintenant ? On est arrivés, je n'ai plus besoin de savoir l'heure.
    - Si je t'avais donné l'heure dès le début, on aurait fait connaissance, on aurait parlé. J'aurais appris que tu connais untel, que moi aussi je connais, on aurait sympathisé, tu serais venu chez moi, tu aurais rencontré ma fille. Comme elle est belle, ma fille, tu serais tombé amoureux, tu aurais voulu l'épouser... Et tu imagines que je vais donner ma fille à un garçon qui n'a même pas de quoi s'offrir une montre ?

  • La vérité si je mens

    Simon a un rendez-vous d'affaires hyper important dans le Sentier, mais il est en retard et cherche désespérément une place pour garer sa Porsche. Il s'énerve, aïe aïe aïe ! Alors il appelle Dieu à son secours :
    - Mon Dieu, si tu me trouves une place dans les cinq minutes, la vérité si je mens, je ferai shabbat, je mangerai casher tous les jours, je ne tromperai plus ma femme Sarah ni Rebecca ma maîtresse, je respecterai Yom Kippour et toutes les fêtes...
    Et alors, ô miracle, une place se libère juste devant lui !
    Simon se gare, ouvre la vitre, se penche à la portière, regarde le ciel et crie :
    - Cherche plus, j'ai trouvé !

  • 1 000 euros

    Trois rabbins passent devant une église et voient un écriteau.
    - Incroyable ! Vous avez vu ? Ils offrent 1 000 euros pour une conversion au catholicisme !
    - Incroyable en effet ! Moi, ça me paraît impossible.
    - Eh bien moi, j'en aurai le coeur net, dit le troisième.
    Et il entre dans l'église. Au bout d'une bonne heure, il ressort et les deux autres l'interrogent :
    - Alors ? C'est vrai, cette histoire de 1 000 euros ?
    L'autre s'emporte :
    - C'est quand même incroyable, ça ! Vous les juifs, vous ne pensez vraiment qu'à l'argent !

  • Compatissant

    Ça se passe en plein hiver, alors qu'il fait -20 °C et que la neige recouvre tout.  Le vieux Simon Blumenstein est à l'article de la mort. Dans un souffle, il demande à sa femme Rachel, qui reste près de son lit, de lui appeler un prêtre.
    - Mais enfin, Simon, tu n'as plus toute ta tête ! Pourquoi un prêtre ?
    - On ne va quand même pas déranger le rabbin par un temps pareil.

  • Petit malin

    Samuel rencontre David :
    - Ouh là là ! Je suis malade, mais j'ai pas envie d'aller chez le toubib, ça coûte cher.
    - Tu devrais aller voir le docteur Goldstein, il pratique un tarif dégressif. Dès la deuxième visite, il ne prend plus que la moitié.
    Samuel se présente donc chez le Dr Goldstein. Quand arrive son tour, il avance d'un pas décidé :
    - Ah ! bonjour docteur ! C'est encore moi !

  • La bonne combine

    Un curé explique à un ami rabbin :
    - J'ai trouvé un moyen génial pour manger gratuit.
    - Excellent ! C'est quoi ton secret ?
    - Tu vas au restaurant, très tard, tu commandes une entrée, un plat, du fromage, un dessert, une bonne bouteille de vin, ensuite tu prends tout ton temps en buvant un café, puis un armagnac... et tu attends la fermeture. Lorsque les serveurs ont terminé de ranger et nettoyer et viennent te voir pour encaisser, tu leur dis simplement : "Mais, j'ai déjà réglé à un de vos collègues qui est déjà parti !".
    - Formidable ! s'écrie le rabbin. Et si on essayait demain ?
    - D'accord.
    Le lendemain, les deux amis se rendent dans un très bon restaurant et tout se passe comme prévu.
    Les serveurs nettoient les lieux, les tables sont rangées, et arrive la fermeture de l'établissement.
    Un garçon arrive vers eux et leur demande s'il peut encaisser.
    - Je suis confus, répond le curé, mais on a déjà réglé à un de vos collègues qui est parti.
    Et le rabbin ajoute :
    - D'ailleurs, on attend toujours notre monnaie.

  • Pas de miracle

    Un touriste en visite en Israël veut faire un tour de bateau sur le lac de Tibériade. 
    - C'est cinq cents shekels, dit le responsable.
    - Quoi ! cinq cents shekels juste pour ça ? 
    - Mais, monsieur, c'est le lac que Jésus a traversé à pied.
    - Pas étonnant, avec des tarifs pareils !

  • Remerciements

    C'est un curé qui va chez le coiffeur. Au moment de payer, le coiffeur lui dit :
    - Pour un homme de Dieu, chez moi c'est gratuit.
    Le lendemain, le curé revient avec un crucifix pour le remercier.
    Un autre jour, c'est un pasteur qui vient se faire couper les cheveux. Il s'apprête à payer, mais le coiffeur lui dit :
    - Pour un homme de Dieu, chez moi c'est gratuit.
    Le lendemain, le pasteur revient avec une bible pour le remercier.
    Quelques jours après, arrive un rabbin, et bien sûr, au moment de payer, le coiffeur lui dit :
    - Pour un homme de Dieu, chez moi c'est gratuit.
    Et le lendemain, le rabbin revient avec un autre rabbin.

  • Encore un mâtin

    Simon ne se lasse pas de vanter dans tout le Sentier les capacités exceptionnelles de son molosse :
    - Il est formidable ! tous les matins, il va au kiosque et me rapporte le journal en me rendant la monnaie. Il sait aussi tenir le magasin quand je vais boire le thé et je pense même lui apprendre à jouer aux échecs, tellement il est intelligent.
    - Ton chien est vraiment extraordinaire, lui dit Abraham. Je t'en offre 500 euros.
    - Tu es fou ou quoi ? Je ne le céderai pas à moins de 5 000 euros !
    - Je t'en propose 2 000.
    - Allez, je te le laisse à 3 000, mais c'est bien parce que c'est toi.
    - D'accord.
    Une semaine plus tard, Abraham croise de nouveau Simon :
    - Dis donc, Simon, qu'est-ce que c'est que cette arnaque ? Le chien que tu m'as vendu à prix d'or, eh bien il passe son temps à manger comme quatre et à dormir. Les seules fois où il veut bien se lever, c'est pour aller pisser. Alors, qu'est-ce que tu dis de ça ?
    - J'en dis que si tu parles aussi mal de ton chien, tu n'arriveras jamais à le revendre.

  • Sérénade

    Minuit et quelques. Mouloud hurle en bas de l'immeuble :
    - Nono ! Hé, Nono ! Jette-moi un oinj !
    Pas de réponse. Mouloud insiste.
    - Nonooooo ! Jette un oinj !
    Une fenêtre s'ouvre et M. Lévy passe la tête :
    - S'il vous plaît, silence. C'est Kippour !
    - Zyva, c'est pour oim !