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blagues juives

  • Une affaire

    C'est Abraham qui dit à une cliente :
    - Achetez donc cette veste, madame.  À ce prix-là, c'est une affaire. De la pure laine !
    - Ah bon ? Alors pourquoi c'est écrit "100 % coton".
    - C'est pour tromper les mites.

  • Les affaires sont les affaires

    Abraham et sa femme Sarah sont tellement imprégnés de leur génie du commerce que, même s'il leur arrive de céder à des désirs conjugaux bien naturels, ils usent d'un langage assez particulier :
    - Chéri, dit Sarah, tu n'as pas quelque chose à vendre ? Je suis acheteuse...
    Or, un soir, Abraham prend sa femme par le bras et lui dit :
    - J'ai quelque chose d'intéressant pour toi, mais il faut acheter tout de suite.
    - Oh ! je suis très fatiguée, dit Sarah. Ça peut attendre demain.
    Mais au bout d'une demi-heure, seule dans son lit, elle commence à changer d'avis. Elle se lève et va frapper à la porte de la chambre d'Abraham :
    - Chéri, c'est toujours d'accord pour traiter l'affaire en question ?
    - Non, dit Abraham à travers la porte. C'était une petite affaire. Je l'ai traitée de la main à la main.

  • Nuance

    Un curé et un rabbin déjeunent ensemble. Au milieu du repas, le curé ajoute de l'eau dans son vin. Le rabbin s'indigne :
    - Un vin pareil ! Le baptiser, c'est un sacrilège.
    Le curé regarde l'autre en coin et lui glisse :
    - Je ne le baptise pas, je le coupe.

  • Bienfaiteurs

    C'est le petit Samuel qui écrit à Dieu :
    "Mon Dieu, papa n'a plus de travail et maman est très malade. Mes frères et soeurs n'ont plus rien à se mettre. Tu vois qu'on est très malheureux. Si tu pouvais m'envoyer mille euros, ça ferait plaisir à tout le monde."
    Les postiers, ne pouvant faire parvenir la lettre à son destinataire, sont bien obligés de l'ouvrir. Ils sont tellement bouleversés par la détresse de cette famille qu'ils décident de se cotiser. Ils font la quête et réunissent cinq cents euros qu'ils envoient au pauvre gamin.
    Trois jours plus tard, ils ouvrent avec curiosité une autre enveloppe, portant la même écriture et adressée au même destinataire :
    "Merci, mon Dieu. J'ai bien reçu l'argent. Mais la prochaine fois, envoie plutôt un chèque, j'ai des doutes sur le facteur."

  • Naufrage

    C'est un bateau qui fait naufrage, lentement mais sûrement. 
    Le capitaine réunit tout l'équipage : 
    - Les gars, c'est foutu ! On est perdus ! Le radar et la radio sont en panne. 
    Prions Dieu pour qu'Il nous reçoive au moins avec indulgence au Paradis. 
    Tout le monde est bouleversé et se met à genoux pour prier... excepté un matelot 
    qui reste debout. 
    - Et toi ! lui dit le capitaine. Tu ne peux pas faire comme tout le monde et 
    prier ?
    - Non, moi je suis juif. 
    - C'est pas une raison ! La situation est suffisamment critique comme ça. Il y a plus de religion qui compte ! Tu devrais au moins faire un geste chrétien, Isaac !
    Alors Isaac enlève son béret et fait la quête.

  • Business is business

    C'est Jacob qui rencontre Abraham :
    - Figure-toi qu'en ce moment j'ai de l'urée.
    - Ah oui ? À combien ?

  • Question de temps

    Isaac doit s'absenter quelques instants de son magasin de confection. Mais il a tellement peur de perdre des clients qu'il accroche un écriteau à la porte :
     
    JE REVIENS DANS UN QUART D'HEURE.
     
    Puis il se dit que les gens n'auront pas la patience d'attendre. Alors il ajoute :
     
    JE SUIS DEJA PARTI DEPUIS 10 MINUTES.

  • Bonne affaire

    - Bonjour à tous ! Vous écoutez Radio Tel Aviv, 102.7 FM... mais en insistant un peu, vous pouvez l'avoir pour 102.

  • L'addition

    Un Écossais et un juif vont manger dans un restaurant très chic. Le repas est copieux et les mets raffinés. Lorsque la serveuse arrive avec l’addition, bien salée, l’Écossais dit :
    - C'est pour moi.
    Et il paie effectivement. Le lendemain matin, on peut lire à la une du journal local :

    UN VENTRILOQUE JUIF RETROUVÉ ASSASSINÉ DANS UNE RUELLE

  • Déformation professionnelle

    C'est un gars qui entre dans un café à Deauville. Il arrive au comptoir et dit :
    - Un gin, s'il vous plaît.
    Aussitôt, une vingtaine de clients se retournent et demandent en choeur :
    - Quelle taille ?

  • Chez le médecin

    C'est Jacob qui s'en va consulter le meilleur cardiologue de Varsovie.
    À la fin de la consultation, il demande :
    - Alors docteur, combien je vous dois ?
    - Ça fera 50 zlotys.
    - 50 zlotys ? C'est impossible.
    - Bon, disons qu'exceptionnellement, pour vous, je peux descendre à 30 zlotys.
    - 30 zlotys pour une consultation ?  C'est ridicule !
    - Bon, alors 20 zlotys.
    - Mais enfin, qui a autant d'argent ?
    Le cardiologue est passablement énervé maintenant :
    - Bon, allez, donnez-moi 5 zlotys et fichez le camp !
    - Je peux vous donner 2 zlotys, c'est à prendre ou à laisser, dit Jacob.
    - Je ne vous comprends pas... Pourquoi êtes-vous venu consulter le médecin le plus cher de la ville ?
    - Ah, moi, vous savez, docteur, quand il s'agit de ma santé, rien n'est trop cher.

  • Les affaires sont les affaires

    C'est Sarah qui dit à David :
    - Chéri, depuis dix ans que nous sommes mariés, tu ne m'as jamais rien acheté.
    David lève le nez de son journal, l'air étonné :
    - Mais tu ne m'as jamais dit que tu avais quelque chose à vendre !

  • Entrée en matière

    Pendant les années 30 en Allemagne, David se balade dans la rue.
    Tout à coup, une voiture s'arrête à son niveau dans un crissement de pneus : C'est Adolf Hitler lui-même. Il descend de la voiture et dit en pointant un pistolet vers David :
    - Juif ! Couche-toi par terre et mange la crotte de chien qui est là !
    Alors David, qui ne veut pas se faire tuer, s'exécute et commence à manger.
    Hitler est tellement content de ce spectacle qu'il se met à rire, mais rire... Tant et si bien qu'il en lâche son arme.
    David se précipite et la ramasse. Il la pointe sur Hitler et lui demande de finir la crotte de chien.
    Pendant qu'Hitler est occupé, David prend ses jambes à son cou et s'enfuit sans demander son reste.
    Lorsqu'il arrive chez lui tout essoufflé, sa femme Sarah lui dit :
    - Tu rentres bien tard.
    - Ah ! chérie, tu ne devineras jamais avec qui j'ai dîné !

  • Business is business

    Abraham a accroché devant son magasin une grande pancarte :

    ICI 20 % DE REMISE !

     
    Alors Jacob, qui tient un magasin presque à côté, accroche une pancarte un peu plus grande :

    ICI 30 % DE REMISE !!!


    Et puis arrive Samuel, qui est propriétaire du magasin situé entre les deux autres. Il voit les deux pancartes et se dit : "Impossible de descendre plus bas". Il réfléchit un peu, puis installe au-dessus de sa porte une grande banderole :

    ENTRÉE PRINCIPALE
  • Trois mères juives

    Trois mères juives parlent de leurs fils :
    - Mon fils, il est tellement riche qu'il pourrait acheter tout Paris s'il voulait.
    La deuxième soupire :
    - Bah bah bah... Moi, mon fils, il est tellement riche qu'il pourrait acheter tout Paris et tout New York s'il voulait.
    Alors la troisième s'écrie :
    - Et qui vous dit que mon fils veut vendre ?

  • A la bonne heure

    Le jeune Samuel monte dans un train et s'installe dans un compartiment face à un monsieur qui lit la Torah. Au bout d'un certain temps, Samuel demande :
    - Vous auriez l'heure, s'il vous plaît ?
    L'autre, imperturbable, continue de lire la Torah. Un long moment passe.
    Le jeune homme demande à nouveau :
    - Excusez-moi, monsieur, vous auriez l'heure, s'il vous plaît ?
    L'homme ne bouge pas, ne répond rien. Le temps passe, et enfin le train arrive à son terminus.
    - Il est 17h30, dit l'homme.
    Samuel le regarde, perplexe.
    - Mais pourquoi vous me le dites maintenant ? On est arrivés, je n'ai plus besoin de savoir l'heure.
    - Si je t'avais donné l'heure dès le début, on aurait fait connaissance, on aurait parlé. J'aurais appris que tu connais untel, que moi aussi je connais, on aurait sympathisé, tu serais venu chez moi, tu aurais rencontré ma fille. Comme elle est belle, ma fille, tu serais tombé amoureux, tu aurais voulu l'épouser... Et tu imagines que je vais donner ma fille à un garçon qui n'a même pas de quoi s'offrir une montre ?