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argent - Page 4

  • Petit malin

    Samuel rencontre David :
    - Ouh là là ! Je suis malade, mais j'ai pas envie d'aller chez le toubib, ça coûte cher.
    - Tu devrais aller voir le docteur Goldstein, il pratique un tarif dégressif. Dès la deuxième visite, il ne prend plus que la moitié.
    Samuel se présente donc chez le Dr Goldstein. Quand arrive son tour, il avance d'un pas décidé :
    - Ah ! bonjour docteur ! C'est encore moi !

  • Bon conseil

    Au cours d'un dîner, une dame accable de questions son voisin, qui est médecin. Au bout d'une heure, celui-ci, furieux, demande à un avocat assis à côté de lui :
    - Maître, cette dame m'interroge depuis une heure sur sa petite santé. D'après vous, suis-je en droit d'exiger des honoraires ?
    - Absolument ! Quant à vous, vous me devez 75 euros.

  • Sens pratique

    Une prostituée va voir son gynécologue.
    - Vous perdez beaucoup pendant vos règles ?
    - Oh, à peu près mille euros.

  • Pas de miracle

    Un touriste en visite en Israël veut faire un tour de bateau sur le lac de Tibériade. 
    - C'est cinq cents shekels, dit le responsable.
    - Quoi ! cinq cents shekels juste pour ça ? 
    - Mais, monsieur, c'est le lac que Jésus a traversé à pied.
    - Pas étonnant, avec des tarifs pareils !

  • Remerciements

    C'est un curé qui va chez le coiffeur. Au moment de payer, le coiffeur lui dit :
    - Pour un homme de Dieu, chez moi c'est gratuit.
    Le lendemain, le curé revient avec un crucifix pour le remercier.
    Un autre jour, c'est un pasteur qui vient se faire couper les cheveux. Il s'apprête à payer, mais le coiffeur lui dit :
    - Pour un homme de Dieu, chez moi c'est gratuit.
    Le lendemain, le pasteur revient avec une bible pour le remercier.
    Quelques jours après, arrive un rabbin, et bien sûr, au moment de payer, le coiffeur lui dit :
    - Pour un homme de Dieu, chez moi c'est gratuit.
    Et le lendemain, le rabbin revient avec un autre rabbin.

  • Encore un mâtin

    Simon ne se lasse pas de vanter dans tout le Sentier les capacités exceptionnelles de son molosse :
    - Il est formidable ! tous les matins, il va au kiosque et me rapporte le journal en me rendant la monnaie. Il sait aussi tenir le magasin quand je vais boire le thé et je pense même lui apprendre à jouer aux échecs, tellement il est intelligent.
    - Ton chien est vraiment extraordinaire, lui dit Abraham. Je t'en offre 500 euros.
    - Tu es fou ou quoi ? Je ne le céderai pas à moins de 5 000 euros !
    - Je t'en propose 2 000.
    - Allez, je te le laisse à 3 000, mais c'est bien parce que c'est toi.
    - D'accord.
    Une semaine plus tard, Abraham croise de nouveau Simon :
    - Dis donc, Simon, qu'est-ce que c'est que cette arnaque ? Le chien que tu m'as vendu à prix d'or, eh bien il passe son temps à manger comme quatre et à dormir. Les seules fois où il veut bien se lever, c'est pour aller pisser. Alors, qu'est-ce que tu dis de ça ?
    - J'en dis que si tu parles aussi mal de ton chien, tu n'arriveras jamais à le revendre.

  • Bon sang ne saurait mentir

    Un riche Corse sur son lit de mort appelle ses trois fils pour savoir qui va hériter.
    Par tradition, c'est le plus paresseux qui l'emportera.
    - Dominique, dit-il d'une voix affaiblie, monte, je dois te poser une question.
    Le fils monte.
    - Dominique, tu vois un billet de 500 euros par terre dans la rue. Qu'est-ce que tu fais ?
    - Je le ramasse pas. Trop fatigant.
    - C'est bien, mon fils. Paulo, dit-il dans un souffle, monte toi aussi.
    Le fils monte.
    - Paulo, tu vois une fille superbe nue sur ton lit qui te tend les bras. Qu'est-ce que tu fais ?
    - Je lui fais rien. Trop fatigant.
    - C'est bien, mon fils. Antonio, dit-il enfin dans un râle déchirant, monte me voir. 
    - Hé non, descends plutôt, toi !

  • Un peu juste

    Un gars prend un taxi. Arrivé à destination, il demande au chauffeur :
    - Combien je vous dois ?
    - 13 euros.
    - Ah ! je n'ai que 12 euros. Vous pouvez reculer un peu ?

  • Pas si bête

    Semaine des histoires belges 2011Un belge entre dans un bar parisien et s'accoude au comptoir. Le fils des patrons lui demande :
    - Qu'est-ce que vous prenez, monsieur ?
    - Un whisky avec deux glaçons, s'il vous plaît.
    Le Belge avale son verre d'un trait et prend le chemin de la sortie.
    Le garçon le rappelle :
    - Hé monsieur, il faudrait penser à payer votre consommation.
    - Comment ça, payer ? Vous m'avez demandé ce que je prenais. C'était une invitation. Il ne faudrait pas me prendre pour un imbécile sous prétexte que je suis belge.
    Et il s'en va.
    Le soir, le garçon raconte l'incident à ses parents.
    - Ça ne fait rien, dit le père. Demain, c'est moi qui m'occupe du bar. S'il revient, il trouvera à qui parler.
    Le lendemain, le patron est derrière le bar quand le Belge arrive. Ayant oublié l'incident de la veille, il demande machinalement :
    - Qu'est-ce que vous prenez, monsieur ?
    - Un whisky avec deux glaçons, s'il vous plaît, dit le Belge.
    Puis il siffle son verre et s'apprête à partir.
    Le patron le rappelle, mais le Belge dit :
    - Ah non, vous m'avez aimablement proposé de boire quelque chose. Quand on offre une consommation, on n'exige pas le paiement.
    Et il sort.
    Le patron, furieux, raconte ça à sa femme le soir. Autoritaire, celle-ci decide de tenir le bar le lendemain et de s'occuper de l'individu s'il ose reparaître.
    Et le lendemain, le Belge entre dans l'etablissement comme si de rien n'était.
    - Bonjour monsieur, dit la patronne.
    - Bonjour madame, répond le Belge.
    A son accent, elle se méfie et décide de se taire.
    Au bout d'un quart d'heure, elle finit quand même par s'impatienter et s'enquiert finement :
    - Monsieur désire passer commande ?
    - Oui, bien sûr. Donnez-moi un oeuf dur et un couteau, s'il vous plaît.
    Un peu étonnée, la patronne lui donne ce qu'il demande. Puis elle le voit éplucher l'oeuf et le découper en petits cubes. Curieuse, elle s'approche :
    - Qu'est-ce que vous faites ?
    - Je me prépare pour la pêche, répond le Belge.
    - Ah oui ? dit la patronne, intéressée malgré elle. Vous pêchez avec des oeufs durs ?
    - Oui, c'est un système à moi, ça marche du tonnerre.
    - Et qu'est-ce que vous prenez avec ça ?
    - Un whisky avec deux glaçons ! lance le Belge triomphant.