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argent - Page 2

  • Chez le bijoutier

    Un monsieur entre chez le bijoutier :
    - Bonjour, je voudrais une bague.
    - C'est pour votre femme, ou bien vous voulez mettre plus cher ?

  • Réussite

    Quatre types sont en train de discuter dans un bar.
    L'un d'eux s'absente pour aller aux toilettes. Les trois autres continuent à parler.
    Le premier dit :
    - J'avais peur que mon fils soit un bon à rien parce qu'il a commencé en lavant des voitures pour un concessionnaire local. Or, le concessionnaire est tombé malade, ils ont nommé mon fils vendeur et il a vendu tellement de voitures que c'est lui qui est devenu concessionnaire. Belle réussite, non ? Et il vient juste d'offrir à son meilleur ami une Mercedes pour son anniversaire.
    - Ouais, pas mal, dit le deuxième. Moi, je me faisais des cheveux pour mon fils parce qu'il a commencé en ratissant les feuilles dans des jardins pour un agent immobilier. Mais l'agent a dû interrompre sa carrière, mon fils est devenu vendeur commissionné, et finalement il a racheté l'agence immobilière. Ça marche tellement bien qu'il vient d'offrir une  maison à son meilleur ami pour son anniversaire.
    - Oui, oui, pas mal, en effet, dit le troisième. Mais mon fils, lui, il a débuté en lavant les sols dans une société de courtage. Eh bien, il a pris un congé, il est devenu courtier, et maintenant c'est lui le patron. Et il est tellement riche qu'il vient d'offrir à son meilleur ami 1 million d'euros en actions pour son anniversaire.
    C'est alors que le quatrième type revient des toilettes. 
    Les trois premiers lui expliquent qu'ils étaient en train de parler de leurs fils respectifs et de leur belle réussite dans la vie.
    Le gars se rembrunit.
    - Malheureusement, je dois admettre que mon fils est une des grandes déceptions de ma vie. Il a commencé comme coiffeur et au bout de quinze ans, il est toujours coiffeur. En plus, je viens de d'apprendre qu'il est homo et qu'il a plusieurs petits amis. Mais bon, j'essaie de voir le bon côté des choses : ses petits amis viennent de lui offrir une Mercedes, une maison et 1 million d'euros en actions pour son anniversaire. 

  • La question qui tue

    Un père décide d'aller boire un coup au bar avec son fils de 12 ans. Chemin faisant, il sort une cigarette et l'allume.
    - Papa, papa ! J'veux fumer. Dis, papa, tu me laisses fumer une cigarette ? 
    - Ecoute, mon fils : t'es capable d'atteindre ton trou du cul avec ta bite ?
    - Euh... non.
    - Eh ben, t'as ta réponse.
    Ils arrivent au bar et le père commande un pastis.
    - Papa, papa ! J'peux prendre un pastis aussi ?
    - Hé hé ! T'es capable d'atteindre ton trou du cul avec ta bite ?
    - Non !
    - Eh ben, t'as ta réponse.
    Puis le père se lève pour acheter un ticket à gratter.
    - Papa, papa ! j'peux en avoir un aussi ?
    - Mais bien sûr.
    Et le père achète un ticket à son fils. Il gratte le sien. Rien !
    Son fils gratte :
    - Papa, papa ! Y a marqué 150 000 euros !
    Le père examine le ticket et n'en revient pas.
    - Oh putain ! T'as gagné, fiston ! Tu vas bien partager avec ton papa chéri, hein ?
    Son fils lui lance un regard narquois.
    - Papa, est-ce que tu peux atteindre ton trou du cul avec ta bite ?
    - Bien sûr, fiston.
    - Eh ben, tu te la prends et tu te l'enfonces bien profond.

  • Le prêt

    C'est deux associés, Samuel et David, patrons d'un magasin de prêt-à-porter du Sentier, qui sont à deux doigts de déposer le bilan. La seule chose qui pourrait les tirer de là serait d'obtenir un prêt de la banque. Alors ils passent remplir un dossier de demande de prêt et le conseiller financier leur dit :
    - Si vous ne recevez pas de courrier avant la fin de la semaine, ça voudra dire que le prêt vous est accordé.
    Les dernières nuits jusqu'à samedi, Samuel et David n'arrivent plus à dormir. Ils n'ont plus d'appétit. Toute la matinée, ils guettent l'arrivée du facteur.
    Enfin, le samedi matin, le facteur arrive.
    Il tient une enveloppe. Samuel, le plus solide moralement, s'avance vers le facteur et prend l'enveloppe. Pressentant le pire, il l'ouvre avec les larmes aux yeux, puis il lit la lettre... et un immense sourire illumine son visage.
    David demande :
    - Alors ?
    - Bonne nouvelle, c'est juste ton frère qui est mort.

  • Belle pièce

    Un gars rend visite à un de ses amis. Il remarque dans le salon un beau buffet :
    - Dis donc, il est magnifique ! Il est de quelle époque ?
    L'autre soupire :
    - De l'époque où j'avais de l'argent.

  • C'est pour meubler

    Deux jeunes mariés viennent de s’installer dans un tout petit studio et, comme ils sont fauchés, ils n’ont pas de meubles. Un soir, ils invitent un copain à dîner. Celui-ci s’étonne :
    - Pierre, comment tu fais pour manger ? Il n’y a pas de table.
    - Ma femme se met à genoux et je dîne sur son dos.
    - Ah ? Et comment tu fais pour dormir ? Je ne vois pas de lit.
    - Ben c’est simple, je retourne la table.

  • L'addition

    Un Écossais et un juif vont manger dans un restaurant très chic. Le repas est copieux et les mets raffinés. Lorsque la serveuse arrive avec l’addition, bien salée, l’Écossais dit :
    - C'est pour moi.
    Et il paie effectivement. Le lendemain matin, on peut lire à la une du journal local :

    UN VENTRILOQUE JUIF RETROUVÉ ASSASSINÉ DANS UNE RUELLE

  • Le riche et le pauvre

    Comment reconnaît-on un Suisse pauvre d'un Suisse riche ?

    Le Suisse pauvre conduit lui-même sa Mercedes.

    Pour voir la réponse, sélectionnez la zone colorée.

  • Vison futé

    Une femme dit à son mari :
    - Mon chéri, je t'avais demandé une voiture pour mon anniversaire, pas un manteau de vison !
    - Oui, je sais, mais j'ai pas trouvé de fausse voiture.

  • A votre bon coeur

    On sonne à la porte d'un Ecossais, qui n'ouvre pas et demande :
    - Qu'est-ce que c'est ?
    - C'est une quête pour les nécessiteux.
    - OK, passez l'argent sous la porte.

  • Peintre

    Un peintre expose ses toiles. Une dame lui demande :
    - Ça marche, vos affaires ?
    - Oh, je vends mes tableaux comme des petits pains.
    - Si vite ?
    - Non, au même prix.

  • Vive la mariée

    Après quelques années de vie commune, un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie. Comme il n’est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la messe nuptiale il s’approche du curé et lui demande :
    - Excusez-moi, mon père, je sais qu’il est d'usage que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré leur mariage, mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général.
    Le prêtre lui répond dans le creux de l’oreille :
    - En général, c’est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle, plus la somme est élevée.
    A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d’un euro au curé.
    Le prêtre, un peu embarrassé, lui dit :
    - Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie.

  • La loi des affaires

    David passe une commande par fax à son fournisseur de tissus en Asie.
    Réponse du fournisseur :
         Nous ne pouvons pas honorer cette commande tant que la précédente ne sera pas réglée.
    David répond aussitôt :
         Annulez cette commande, je ne peux pas attendre aussi longtemps.

  • Chez le médecin

    C'est Jacob qui s'en va consulter le meilleur cardiologue de Varsovie.
    À la fin de la consultation, il demande :
    - Alors docteur, combien je vous dois ?
    - Ça fera 50 zlotys.
    - 50 zlotys ? C'est impossible.
    - Bon, disons qu'exceptionnellement, pour vous, je peux descendre à 30 zlotys.
    - 30 zlotys pour une consultation ?  C'est ridicule !
    - Bon, alors 20 zlotys.
    - Mais enfin, qui a autant d'argent ?
    Le cardiologue est passablement énervé maintenant :
    - Bon, allez, donnez-moi 5 zlotys et fichez le camp !
    - Je peux vous donner 2 zlotys, c'est à prendre ou à laisser, dit Jacob.
    - Je ne vous comprends pas... Pourquoi êtes-vous venu consulter le médecin le plus cher de la ville ?
    - Ah, moi, vous savez, docteur, quand il s'agit de ma santé, rien n'est trop cher.

  • Bonne affaire

    Un automobiliste belge s’arrête sur une aire de repos à côté d’un camping car et frappe à la porte. Une prostituée lui ouvre.
    - Bonjour madame, qu'est-ce que je peux avoir pour 10 euros ?
    - Eh ben mon petit gars, pour 10 euros tu vas te branler.
    Et elle referme la porte.
    Dix minutes plus tard, quelqu’un frappe de nouveau. Elle ouvre et se retrouve nez à nez avec le même Belge.
    - Qu’est-ce que tu veux encore, toi ? dit-elle en soupirant.
    - Ben je viens vous payer.

  • Les affaires sont les affaires

    C'est Sarah qui dit à David :
    - Chéri, depuis dix ans que nous sommes mariés, tu ne m'as jamais rien acheté.
    David lève le nez de son journal, l'air étonné :
    - Mais tu ne m'as jamais dit que tu avais quelque chose à vendre !

  • Pas donné

    C’est un type qui entre dans un bistrot et commande un whisky. Il siffle son verre et demande :
    - Combien je vous dois ?
    - Dix euros, répond le serveur.
    - Dix euros ! Ça a encore augmenté !
    - Ça n'a pas augmenté : c'est vingt euros assis en terrasse, quinze euros assis dans la salle, et dix euros debout au comptoir.
    Le lendemain, le gars se présente au comptoir et tend au barman un billet de cinq euros.
    - Un whisky, s'il vous plaît. Vous me l'apporterez aux chiottes, je le boirai debout sur une jambe.

  • La bonne solution

    Le candidat à un nouveau poste dans une entreprise ajoute timidement après l'entretien avec le chef du personnel :
    - Je dois tout de même vous avouer une chose, je suis un peu superstitieux.
    - Ah oui ? Qu'à cela ne tienne, nous vous supprimerons simplement votre treizième mois.