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sexe - Page 2

  • Une affaire

    Un capitaine passe rue Saint-Denis, croise une prostituée et lui demande :
    - Excusez-moi, mademoiselle, mais pour 500 euros, acceptez-vous ma compagnie ?
    - Bien sûr, mon mignon, un beau gars bien poli comme toi !
    Alors le capitaine se retourne et braille :
    - Compagnie, en avant, marche !

  • À la lettre

    Un homme marche sur la plage quand tout à coup il aperçoit une lampe. Il la frotte, un génie en sort et lui propose de faire un voeu.
    - J'aimerais avoir un sexe qui traîne par terre.
    Alors le génie lui coupe les deux jambes.

  • Etourdie

    C'est une dame qui revient de chez le gynécologue et s'aperçoit qu'elle n'a plus sa culotte. Elle téléphone au médecin :
    - Docteur, excusez-moi de vous déranger. Je n'aurais pas oublié ma petite culotte chez vous ?
    - Ah non, madame, désolé.
    - Alors ça doit être chez le dentiste.

  • Ça coule de source

    Une blonde se rend chez son médecin avec ses résultats d'analyses. Le médecin, ennuyé, lui dit :
    - Ecoutez, je vais être franc : vous souffrez d'une blennorragie.
    La blonde ouvre des yeux comme des soucoupes.
    - Une quoi ?
    - Blennoragie. Ça vient du grec...
    - Ah, le salaud ! J'aurais dû m'en douter !

  • Rêves party

    C'est trois gars qui couchent sous la tente.
    Au petit matin, l'un des trois dit aux autres :
    - J'ai rêvé qu'on me caressait la bite.
    - Hé, moi aussi ! dit un autre.
    Et celui du milieu :
    - Moi, j'ai rêvé que je faisais du ski de fond.

  • Chacun son métier

    C'est un type pas bricoleur du tout. Un soir qu'il rentre chez lui, sa femme lui dit :
    - Tu sais, chéri, le robinet de la cuisine fuit. Il faudrait changer le joint.
    - Tu rigoles, je ne suis pas plombier, moi !
    Une semaine passe. Sa femme lui dit :
    - Tu sais, la porte du placard dans l'entrée ferme mal. Il faudrait que tu y fasses quelque chose !
    - Tu rigoles, je ne suis pas serrurier, moi !
    Un autre soir, elle lui demande :
    - L'interrupteur dans le couloir ne fonctionne plus. Tu ne pourrais pas le réparer ?
    Et toujours :
    - Tu veux rire, je ne suis pas électricien, moi !
    Un soir, il rentre à la maison, et là, miracle ! le robinet ne fuit plus, la porte du placard ferme impeccablement, l'interrupteur fonctionne à merveille. Il s'étonne et demande à sa femme :
    - Tu as fais venir des ouvriers ?
    - Non, c'est notre voisin de palier qui a eu la gentillesse de tout réparer.
    Le mari, méfiant, demande :
    - Et il t'a demandé combien pour ça ?
    - Oh, il m'a juste proposé de lui faire un gâteau ou une gâterie, au choix.
    - Ah bon ? Et il en reste, du gâteau ?
    - Tu rigoles ! Je ne suis pas pâtissière, moi !

  • Vu sous cet angle...

    Un homme dit à sa femme :
    - Chérie, tu ne me verras pas ce soir.
    - Pourquoi ? Tu sors ?
    - Non, je t'encule.

  • Le japonais sans peine

    Un homme d'affaires européen très porté sur la chose part au Japon. Le soir-même, il est au lit avec une belle geisha qui, bien entendu, se pâme. Quand même, songe-t-il en pleine action, notre réputation d'occidentaux n'est pas surfaite. "Kawa ! Kawa !" gémit la geisha sous les coups de boutoir de l'étalon. Il la retourne en tous sens : "Kawa ! Kawa !" Et cela se prolonge jsqu'à une heure avancée de la nuit.

    Le lendemain, notre héros retrouve son correspondant japonais. A l'issue d'une journée de travail, ce dernier lui propose d'aller faire un parcours de golf. L'homme d'affaires japonais met la balle au trou du premier coup, avec un geste impeccable. Alors, pour exprimer son admiration, l'européen ne trouve rien de mieux que de s'exclamer : Kawa ! Kawa !

    Le Japonais le regarde avec étonnement et dit :
    - J'ignore où vous avez appris les rudiments de notre belle langue japonaise, mais je puis vous assurer que je ne me suis pas trompé de trou.

  • Grande taille

    C'est une blonde qui entre dans un sex-shop pour s'acheter des godemichets. Elle interpelle le vendeur :
    - Je voudrais le bleu, le vert et le rouge, s'il vous plaît. 
    - Pour les deux premiers, pas de problème, mais pour l'extincteur il faut que je demande au patron.

  • Les affaires sont les affaires

    Abraham et sa femme Sarah sont tellement imprégnés de leur génie du commerce que, même s'il leur arrive de céder à des désirs conjugaux bien naturels, ils usent d'un langage assez particulier :
    - Chéri, dit Sarah, tu n'as pas quelque chose à vendre ? Je suis acheteuse...
    Or, un soir, Abraham prend sa femme par le bras et lui dit :
    - J'ai quelque chose d'intéressant pour toi, mais il faut acheter tout de suite.
    - Oh ! je suis très fatiguée, dit Sarah. Ça peut attendre demain.
    Mais au bout d'une demi-heure, seule dans son lit, elle commence à changer d'avis. Elle se lève et va frapper à la porte de la chambre d'Abraham :
    - Chéri, c'est toujours d'accord pour traiter l'affaire en question ?
    - Non, dit Abraham à travers la porte. C'était une petite affaire. Je l'ai traitée de la main à la main.

  • Bis repetita

     Dans un bar, deux amis discutent :
     - Tu sais quoi ? Hier soir, je me suis fait deux soeurs siamoises.
     - Sans blague ? Et c'était bon ?
     - Ben... oui et non.

  • Les routiers sont sympas

     Au bord d'une route très peu fréquentée, un camionneur aperçoit un jeune homme tout nu attaché à un arbre. Il s'arrête et descend du camion.
    - Ben qu'est-ce que vous faites là ? demande-t-il.
    - J'ai été attaqué par des bandits qui m'ont dépouillé de tout, même de mes vêtements, répond le jeune homme d'une voix geignarde.
    Le camionneur hoche la tête, contemple le jeune homme de bas en haut puis s'avance vers lui en déboutonnant sa braguette sans se presser.
    - Décidément, dit-il d'un ton nonchalant, c'est pas votre jour de chance.

  • Ami-ami

    Dans la forêt vierge, au pied d'un grand baobab, un lion est en train de parlementer avec un singe qui s'est réfugié dans les branches.
    - Je t'en prie, descends de là. Je te promets que je ne te ferai pas de mal. Je cherche seulement un compagnon de jeu. Tout le monde a peur de moi et ça me désespère.
    - Ouais, réplique le singe, tout ça c'est du baratin. Dès que je serai descendu, tu vas me sauter dessus et me bouffer. Je connais les gens de ton espèce.
    - Mais non, je te jure que je suis sincère. Je ne demande que de l'affection. Je ne cherche que l'amour. Tiens, pour te prouver ma bonne foi, je vais m'attacher les pattes. Comme ça tu n'auras plus peur.
    Et joignant le geste à la parole, le lion arrache une longue liane avec laquelle il se ligote les pattes. Puis il attend, soumis, que le singe vienne le rejoindre.
    - Je veux bien descendre, dit le singe, mais alors il faudra que tu te laisses passer une muselière.
    - D'accord.
    Et le singe, dégringolant prudemment de sa branche, saute devant le lion et s'empresse de lui museler solidement le mufle avec d'autres lianes. Puis il le regarde avec une certaine satisfaction.
    - Tu as bien dit que tu ne cherchais que l'amour ?
    - Mais oui, dit le lion.
    Le singe se met à trembler de tous ses membres.
    - Tu as donc encore peur de moi ?
    - Non, non, dit le singe, tout couvert de sueur. Je tremble parce que c'est la première fois de ma vie que je vais enculer un lion.

  • Sortez couverts

    Un gars va à la pharmacie pour acheter des préservatifs. Le jeune homme paie et le pharmacien lui demande :
    - Vous voulez un sac ?
    - Non merci, elle n'est pas si moche que ça.

  • Soupçons

    Un peintre est en train de bavarder tranquillement dans son atelier avec la fille qui lui sert de modèle. Soudain, on entend une clé qui tourne dans la serrure.
    - C'est sûrement ma femme ! dit le peintre. Vite ! Fous-toi à poil !

  • Souvenirs, souvenirs

    Dans un bar, deux amis discutent :
    - Moi, j'ai jamais couché avec ma femme avant le mariage. Et toi ?
    - Euh... attends que je réfléchisse. Rappelle-moi son nom de jeune fille...

  • Ingrat

    Marius a invité Olive à venir passer quelques jours dans son cabanon. Cependant, au fur et à mesure que le week-end passe, un malaise s’installe entre les deux amis.
    Au bout de trois jours, Marius est complètement crispé et il s'arrange pour éviter Olive. Alors Olive le prend par le bras et lui dit :
    - Écoute, tu m'as invité, mais si ça ne te plaît plus, si vraiment je dérange, il vaut mieux le dire au lieu de me faire une tronche pareille !
    - C'est pas que tu déranges, réplique Marius. Tu es seulement un peu inconscient. Samedi, tu t'es tapé ma femme. Bon, je ne lui cavale plus après depuis longtemps, alors je t'ai laissé faire. Dimanche, tu t'es tapé ma fille de 17 ans et elle était vierge. J'ai fermé ma gueule, parce que tu es un ami. Lundi matin, tu t'es fait la bonne. Lundi soir, tu t'es envoyé mon fils de 19 ans. Alors, résumons-nous : ma femme, ma fille, ma bonne, mon fils... Et moi, un ami de vingt ans... rien ?

  • Baril en la demeure

    - Je veux bien signer un engagement sur votre navire, dit le matelot au capitaine, mais est-ce qu'au moins il y a des femmes à bord ?
    - Non, dit le capitaine. Mais vous verrez ! Il y a mieux que ça. Je vous expliquerai dès que nous serons en mer.
    Et trois jours après, comme le matelot revient aux renseignements, le capitaine lui dit :
    - Voilà, quand ca te démange, tu viens me trouver. Je te donne la clé de la cale. Dans la cale, il y a un tonneau avec un gros bouchon de liège. Tu enlèves le bouchon, et le reste c'est ton affaire.
    Il faut croire que ce petit manège convient au gars, puisque tous les soirs il frappe à la porte du capitaine, se fait remettre la clé et descend dans la cale d'où il ressort rayonnant.
    Mais le 20ème jour, alors qu'il vient chercher la clé, le capitaine lui dit :
    - Ah non ! Aujourd'hui, ne compte pas sur la clé, parce qu'aujourd'hui, tu vois, c'est marqué sur le calendrier : c'est toi qui es dans le tonneau.